nos nuits réunies comme par le présent de la nuit éblouissante, celle dernière, la même première, dans la petite enfant, la nuit aussitôt et le long d'un chemin disparue par enchantement, dans la chaleur, la noirceur et la clarté de l'hier du bien-être nous pouvons dire la pâleur dite par la nuit enfant
(...)
pour dire la pâleur dite par la nuit enfin à t'écouter marchant sur chemin parlant sur voix je ne sais pas si - nous- le peut mais sûrement tu, et dans la nuit pâleur parlée de l'enfant au bosquet on va glissant de très petits secrets à la bouche mâchant le jour
sur la pâleur des joues fait venir l'enfant au matin dans le chemin parlé d'après nuit
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire